Une substitute du procureur accusée d’escroquerie judiciaire pour faire disparaître le père de ses enfants – l'Observatoire de la Justice

Une substitute du procureur accusée d’escroquerie judiciaire pour faire disparaître le père de ses enfants

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Une substitute du procureur accusée d’escroquerie judiciaire pour faire disparaître le père de ses enfants
Un billet de la série « L’affaire ‘l’ex-substitute’ » .

La plainte a été adressée ce 24 mars 2023 à Monsieur le procureur d’un tribunal judiciaire de province. Elle dénonce une vaste escroquerie judiciaire ourdie par Mme J., parquetière membre de son équipe.

« Escroquerie au jugement » , « dénonciations calomnieuses » , « fabrication de preuve » , « production de faux » , « violation du secret de l’enquête » ,… Un florilège époustouflant d’infractions pénales afin d’amener la justice à prononcer la disparition judiciairement imposée de son époux et père de leurs trois enfants.

Cette femme aurait succombé à la mode très en vogue du rapt d’enfants par l’un des parents. Une mode activement portée par des lobbies donnant plus dans le fanatisme que dans le ‘féminisme’ dont ils se réclament. Une mode consentie – sinon activement facilitée – par une institution judiciaire se prévalant davantage des lois lui permettant la complaisance et l’expression de son autodécrétée « souveraineté » , que des principes fondamentaux aux sources de nos sociétés dites « libérales » . Mais qu’en est-il donc des droits et libertés fondamentaux aux prétentions d’universalité affirmés par la Convention Européenne des Droits de l’Homme (CEDH), dont le droit à la famille (art. 8) ? Mais qu’en est-il de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant (CIDE) reconnaissant à celui-ci un droit fondamental au lien avec chacun de ses parents et ses racines familiales ?

Ce qui aurait pu être une banale histoire de divorce se serait transformé en chasse à l’homme judiciaire. Trois ans et demi de rapt contre lequel le père ne peut rien ; les collègues de Madame lui interdisant promptement toute relation avec ses enfants, entre autres mesures vexatoires et privations de libertés fondamentales.


Dans cette instrumentalisation de l’appareil judiciaire, cette substitute du procureur aurait donné libre cours à ses « pulsions assassines » , selon le plaignant. On croirait à un fake si les faits n’avaient été perpétrés ‘sur le terrain’ de l’accusée, c’est à dire au cours de procédures judiciaires, laissant autant de traces officielles et authentiques.

La plainte est en effet copieusement documentée, accompagnée d’une annexe démonstrative renvoyant à une multitude de documents authentiques accessibles sur internet.

On peut comprendre que la victime d’une telle machination, menée de l’intérieur du système judiciaire par une spécialiste de l’accusation, se soit senti tenue de déployer un tel arsenal démonstratif ainsi que, sait-on jamais, de médiatiser cette affaire.

« JAMAIS je n’accepterai de me résigner à n’être plus le père de mes enfants, et cette interdiction d’exister pour eux n’est que l’expression d’un système infiniment perverti qui prétend m’obliger à les abandonner, qui prétend imposer de faire d’eux des orphelins de père. Pire ; qui les met coupablement à contribution pour cette exécution » .

Monsieur F. (propos recueillis)

On peut s’étonner du sentiment de confiance de cette magistrate, laissant tant de trâces de ses méfaits qu’elle aurait sévi presque au grand jour.

« Après presque trente ans de vie commune sans le moindre incident, je crois qu’elle a été submergée par ses nouvelles fonctions de magistrate vers lesquelles je l’avais accompagnée, par le pouvoir absolu mis entre ses mains, sans doute aussi un sentiment – une conviction – de nouvelle et totale impunité » .

« …l’aspiration à la plénitude de l’épanouïssement professionnel par la démonstration de sa maîtrise achevée de l’appareil » .

« Aucune considération morale ou éthique apparente, une étrange lecture de ‘l’intérêt supérieur de l’enfant’, aucune contrainte légale, juste sans doute le besoin impérieux de réaliser le crime parfait, le chef-d’oeuvre de sa vie – de sa nouvelle vie de ‘Madame la juge’ » .

Monsieur F. (propos recueillis)

« Chef-d’oeuvre » … ou ‘coup de maître’, vue la réalité de la situation de Monsieur F.
Coup de maître ou coup de maître-escroc, selon les accusations de Monsieur F. ?

Tout dépend de la définition que l’on se fait de la justice. La perception qu’en a visiblement Madame la substitute du procureur vaudrait-elle définition ?

‘Procès en sorcellerie’, ‘lettre de cachet’,… Cette magistrate revisiterait-elle la justice française façon ancien régime ?


Nous publions ici le courrier-plainte et son annexe adressés aux autorités judiciaires.


Sur la base là encore de nombreuses pièces authentiques, l’annexe suivante démontre l’intentionnalité des faits dénoncés.


Les pièces référencées, documents publics issus de procédures judiciaires, sont mises à disposition par le plaignant pour lever toute suspicion quant au bien fondé de cette plainte.


« Je n’ai aucun doute qu’elle soit très bien notée par sa hiérarchie, ni que chacun dans son entourage soit peiné par le triste tournant de sa vie qui aurait fait d’elle la victime de la violence de son conjoint. Elle doit s’accomplir dans ce rôle-là » .

Monsieur F. (propos recueillis)

Il revient à présent à Monsieur le procureur de juger de l’opportunité des poursuites.


Traduction des documents ci-dessus (plainte, annexe, liste des pièces) disponible en suivant le lien ci-dessus.


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